Une aide auditive baptisée Brain Hearing, qui permet aux utilisateurs d’analyser et de traiter avec plus de précision et plus de facilité les sons en milieu bruyant.
Si on associe tout naturellement l’audition à l’oreille, c’est néanmoins le cerveau qui entend et traite les sons. Avec son approche Brain Hearing, l'enseigne Oticon s’attache à fournir un traitement de signal qui soutient les processus cognitifs. Car une perte d’audition est très exigeante pour le cerveau qui doit consentir plus d’efforts afin de décoder les signaux sonores qu’il reçoit. Un défi encore plus complexe à relever dans le cadre professionnel, lorsque les conversations sont longues et se déroulent en milieu bruyant.
« Avec l’approche Brain Hearing, et aux travers des trois plate-formes successives que nous avons développées, enrichies et améliorées depuis 2016, nous voulons répondre à cet enjeu en travaillant principalement sur deux aspects, explique Éric Bougerolles, responsable pôle audiologie Prodition. En premier lieu, faciliter l’écoute lorsqu’un malentendant se trouve face à plusieurs interlocuteurs, dans un contexte de réunion ou d’open space, grâce à un son que l’on entend à 360°. Ensuite, imposer moins d’efforts au cerveau de l’utilisateur, afin que ce dernier soit capable de rester attentif plus longtemps et d’enregistrer un message qu’il sera en mesure de restituer avec exactitude. »
La technologie Brain Hearing, démontre, grâce à des études fondées sur l’analyse d’électroencéphalogrammes, que les voix secondaires émergent de 30 % supplémentaires par rapport à une aide auditive classique. « Le cerveau bascule ainsi plus facilement d’un interlocuteur à l’autre », conclut Éric Bougerolles.